Si la médiation commence à trouver sa place dans le paysage du règlement des litiges, bénéficiant
en cela d’un effet d’accélération induit par la crise sanitaire et la volonté des pouvoirs publics de la promouvoir comme une alternative crédible au contentieux, celle-ci demeure cependant encore mal comprise par les justiciables. Des interrogations demeurent notamment sur le rôle du médiateur et, de façon plus générale, sur l’intérêt pour les parties d’avoir recours aux services d’un tiers pour les aider à résoudre leur conflit de façon non contrainte, de surcroît lorsqu’elles ont déjà échoué à le faire en tentant de s’entendre directement.
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