Selon les études, plus des trois-quarts des startups se soldent par un échec. Comment l’expliquer ? Par-delà les risques technologiques et concurrentiels, les raisons sont aussi liées à des conflits internes qui n’ont pu être détectés à temps et/ou résolus dans des conditions satisfaisantes.
Les conflits d’associés : bête noire des startups Comme toute entreprise, la startup est une organisation humaine. C’est un environnement par essence générateur de conflits où les intérêts s’entrecroisent et peuvent diverger.
Associées aux difficultés inhérentes au développement d’une startup – entreprise créée pour concrétiser un projet ambitieux sur un marché instable ou en création portée par l’enthousiasme de ses fondateurs, qui n’a souvent pas de business-modèle fixe – ces tensions peuvent s’amplifier.
Le dialogue au sein des assemblées et autres réunions peut rapidement devenir lettre morte et conduire à une
situation de blocage, voire à la paralysie fatale du projet.
Ces conflits – qui impactent le processus décisionnel, coûtent de l’argent et perturbent les équipes à l’œuvre – menacent la solidité de l’édifice dans une période cruciale d’amorçage où toutes les énergies doivent être mobilisées
pour mener rapidement le projet à maturité et le développer en ayant recours à des soutiens (notamment financiers) extérieurs…
[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row]